On a retrouvé des tablettes cunéiformes expliquant une méthode d'accord de la lyre-cithare à neuf cordes, permettant d'établir une théorie de la gamme babylonienne.
Les instruments les plus utilisés pour ce faire sont des flûtes, en particulier le shakuhachi, le koto (cithare) et surtout une vaste gamme de percussions.
On y reconnaît plusieurs éléments caractéristiques, notamment l'utilisation d'un accordéon et d'une cithare ainsi que l'utilisation dans le chant d'une suite de syllabes sans signification.