C'est une situation proprement humaine et qui n'est pas dépourvue de relations sociales, mais qui aboutirait à une vie « solitaire, besogneuse, bestiale et brève ».
Les commentateurs hésitent entre une interprétation réaliste et anecdotique (représentation de bateleurs présentant des singes) et une interprétation symbolique et allégorique (l'homme tenant en laisse la part bestiale de lui-même).
Cependant, il se montre particulièrement indisposé par le domaine après des visites des champs de bataille et finit par décrire la guerre comme « pazzia bestialissima » (une « folie bestiale »).