Ses études mouvementées lui ont-elles donné une connaissance du latin suffisante pour lire les textes théoriques passablement ardus du redécouvreur et réhabilitateur d'Épicure ?
Estimer leur nombre se révèlera ensuite « une tâche extrêmement ardue », aux « résultats souvent contradictoires », en raison de la pénurie des sources primaires.
En conséquence, les cours qu'un roch yechiva dispense sont souvent considérés comme les plus ardus, uniquement accessibles aux meilleurs éléments de l'académie.
L'ouvrage, considéré comme cryptique en raison d'une langue ardue empreinte de tournures hélléniques est longtemps restée méconnue des historiens et philologues.