Le schizophrène, en effet, use de tropes spécifiques telle l’analogie ou le néologisme, qui renseignent son rapport au sens, l'antiphrase et l'énantiosémie.
En gros, deux postures principales constituent le cadre ironique : l'éloge par le blâme ou astéisme, et son contraire, le blâme par l'éloge ou antiphrase.
L'antiphrase a une parenté marquée avec une autre figure de l'ironie : l'euphémisme, qui consiste à atténuer une vérité et que l'on retrouve dans maintes expressions.