Les débats entre leurs partisans étaient souvent acrimonieux et certains militants se voyaient tout simplement interdire de fréquenter les militants de l'autre.
Cet ouvrage de vingt-sept pages est « polémique et acrimonieux » et seulement les deux tiers parlent directement de la politique ecclésiastique (principalement des synodes et des offices).
Cette doctrine généralement défendue par les jésuites s'opposait dans les débats théologiques (souvent acrimonieux) au probabiliorisme qui maintenait que moralement il fallait opter pour l'«opinion la plus probable».
D'un point de vue stylistique, l'écriture de l'ouvrage est caractérisée par un ton extrêmement fluctuant, tantôt neutre et objectif, tantôt acrimonieux et polémique.