Khartoum ne pouvait plus être réapprovisionné, ce qui a entraîna des pénuries alimentaires, mais réussissait toujours à communiquer avec l'extérieur en utilisant des messagers.
Par ailleurs le schnorchel permet de se réapprovisionner en air comprimé, indispensable aux opérations des ballasts et pour certains modèles de tubes lance-torpilles.