C'est également à cette époque que l'activité de gravure sur bois de son atelier commence à faiblir, sous la pression de la zincographie désormais privilégiée par les éditeurs.
Il déposa en 1834 le brevet d'une technique permettant de "remplacer la pierre lithographique par le zinc", procédé qui sera ensuite appelé « zincographie ».