Castrima est sauvée, mais les mécanismes de la géode ont été irrémédiablement endommagés par l'assaut, et le comité risque de mourir de faim et de suffoquer s'il reste sur place.
L'injection de curare ferait suffoquer le condamné en paralysant ses muscles respiratoires, tandis que la troisième injection engendrerait une brûlure dans tout le corps.