De plus, l'escadre du renseignement dispose d'un réseau d'agents et d'informateurs et possède un équipement de communication et de surveillance moderne, y compris les radars.
Des libelles lui prêtent des manœuvres occultes, l'accusant d'avoir entretenu un « cabinet noir » ; nombres d'ouvrages révolutionnaires devaient lui supposer un réseau d'informateurs dans la capitale.
C'est avec ce genre de prisonniers qu'apparaissent des centres de conspiration clandestins qui organisent l'élimination de ceux qui soutiennent ouvertement l'administration et des informateurs.