Des légendes racontent que le succube prendrait l'apparence d'une femme défunte et, faisant croire à la résurrection de celle-ci, s'accouple avec son bien-aimé.
À cet égard, le substantif « hydropique », en fin de poème, peut s'envisager comme un simple élément du taux de morbidité, qui dépouille la parente défunte de son identité.