Finalement, en mer ils donnent des vagues importantes et des embruns verglaçants dont l'accumulation sur les superstructures peut mener au chavirement d'un navire.
Trois minutes après les premières torpilles, deux autres frappent le navire qui atteint une gîte de 60°, point de non-retour : le chavirement est inexorable.
Nombre de passagers furent pris au piège par l'eau et le chavirement soudain, d'autres furent écrasés par des meubles et certaines infrastructures du navire.
Une quantité de liquide libre sur le pont principal engendre une perte de stabilité par effet de carène liquide et entraîne le chavirement, même par des conditions météorologiques bonnes.
Ainsi plus la masse est excentrée par rapport à l'axe de rotation plus le moment dû au poids de la masse augmente, cela peut donc entraîner le chavirement du navire.