La minute de silence montre l'unanimité d'un sentiment, puisqu'elle offre l'occasion d'une manifestation d'opposition, et que si aucun son ne l'accompagne, l'indifférence même se manifeste par un brouhaha.
Enfin, l'auteur utilise beaucoup de phylactères, de tailles multiples qui s'entrecroisent et se chevauchent parfois, ce qui semble donner le rythme des conversations, comme prises dans le brouhaha du troupeau.